Auteur/autrice : Nicole Lebrun

La ministre de l’Enseignement supérieur Sylvie Retailleau a annoncé ce dimanche que les candidats toujours en attente de réponse sur la plateforme d’accès à l’enseignement supérieur Parcoursup pouvaient faire leur choix parmi « 100 000 places de formations encore vacantes ».

« Les candidats peuvent choisir parmi 100 000 places de formations encore vacantes, dans un peu plus de 5 800 formations différentes », assure-t-elle dans les colonnes du JDD. Elle précise que ces places se situent « aussi bien dans les nouvelles licences Accès Santé (62 LAS ont encore des places), dans les licences de droit, d’économie-gestion ou de lettres, que dans des formations sélectives comme les classes préparatoires, qui ne font plus le plein partout, en BTS ou en BUT ».

94 000 candidats sans proposition

Selon le tableau de bord de Parcoursup, 94 000 candidats n’ont encore reçu aucune proposition durant la phase principale. Il y en avait environ 91 000 en 2021.

Mais pour Sylvie Retailleau, « Parcoursup s’améliore continuellement, année après année, depuis cinq ans. Aujourd’hui, au terme de la phase principale, un peu plus de neuf lycéens sur dix ont reçu au moins une proposition d’admission. La procédure a été plus fluide. Et il y a eu moins d’attente pour les candidats que l’an dernier », affirme-t-elle.

Selon elle, « à la fin de la phase principale, 83,1% de l’ensemble des candidats, c’est-à-dire des lycéens, des étudiants en réorientation et des personnes en reprise d’études, ont reçu au moins une proposition en 2022, contre 82,8% en 2021 ».

Interrogée sur les améliorations possibles de la plateforme, la ministre a estimé qu’il fallait « avant tout améliorer l’orientation des élèves. Il y a déjà eu un gros travail de réalisé. Il n’y a jamais eu autant d’informations sur les formations que sur la plateforme Parcoursup. Il faut maintenant rendre tout cela plus accessible. On y travaille avec mon collègue Pap Ndiaye, le ministre de l’Education nationale ».

« La demi-journée avenir qui sera mise en place dès la 5e permettra notamment de mieux faire connaître tous les métiers et d’améliorer l’orientation », a-t-elle ajouté.

Par ailleurs, au sujet de la création des places à l’université à la rentrée, « le gouvernement a déjà créé 84 000 places dans l’enseignement supérieur en 5 ans » et va « continuer cet effort », a assuré Mme Retailleau.

La ministre de l’Enseignement supérieur Sylvie Retailleau a annoncé ce dimanche que les candidats toujours en attente de réponse sur la plateforme d’accès à l’enseignement supérieur Parcoursup pouvaient faire leur choix parmi « 100 000 places de formations encore vacantes ».

« Les candidats peuvent choisir parmi 100 000 places de formations encore vacantes, dans un peu plus de 5 800 formations différentes », assure-t-elle dans les colonnes du JDD. Elle précise que ces places se situent « aussi bien dans les nouvelles licences Accès Santé (62 LAS ont encore des places), dans les licences de droit, d’économie-gestion ou de lettres, que dans des formations sélectives comme les classes préparatoires, qui ne font plus le plein partout, en BTS ou en BUT ».

94 000 candidats sans proposition

Selon le tableau de bord de Parcoursup, 94 000 candidats n’ont encore reçu aucune proposition durant la phase principale. Il y en avait environ 91 000 en 2021.

Mais pour Sylvie Retailleau, « Parcoursup s’améliore continuellement, année après année, depuis cinq ans. Aujourd’hui, au terme de la phase principale, un peu plus de neuf lycéens sur dix ont reçu au moins une proposition d’admission. La procédure a été plus fluide. Et il y a eu moins d’attente pour les candidats que l’an dernier », affirme-t-elle.

Selon elle, « à la fin de la phase principale, 83,1% de l’ensemble des candidats, c’est-à-dire des lycéens, des étudiants en réorientation et des personnes en reprise d’études, ont reçu au moins une proposition en 2022, contre 82,8% en 2021 ».

Interrogée sur les améliorations possibles de la plateforme, la ministre a estimé qu’il fallait « avant tout améliorer l’orientation des élèves. Il y a déjà eu un gros travail de réalisé. Il n’y a jamais eu autant d’informations sur les formations que sur la plateforme Parcoursup. Il faut maintenant rendre tout cela plus accessible. On y travaille avec mon collègue Pap Ndiaye, le ministre de l’Education nationale ».

« La demi-journée avenir qui sera mise en place dès la 5e permettra notamment de mieux faire connaître tous les métiers et d’améliorer l’orientation », a-t-elle ajouté.

Par ailleurs, au sujet de la création des places à l’université à la rentrée, « le gouvernement a déjà créé 84 000 places dans l’enseignement supérieur en 5 ans » et va « continuer cet effort », a assuré Mme Retailleau.

La piste est ouverte au public et l’initiation est gratuite, à partir de 14 ans. Chaque étape se déroule dans le cadre d’un protocole sanitaire renforcé avec des groupes restreints, des fournitures et le port du masque obligatoire pour chaque candidat et moniteur.

Pour mémoire, en 2019, dans le département des Landes, 28 personnes ont perdu la vie sur la route.

En moyenne, entre 2015 et 2019, 22 % des personnes tuées dans les Landes étaient sur un deux-roues motorisé.

Contact : Frédéric Castelnau au 06 62 23 05 15.

Cela fait dix ans que le village de Biederthal n’a plus de structure pour accueillir les élèves de maternelle et de primaire. Les nombreux Suisses s’y étant installés au fil du temps avaient inscrit leur progéniture de l’autre côté de la frontière. « J’ai toujours eu la petite nostalgie de cette école pour la vie du village. Je disais souvent au maire : “On a ouvert une épicerie, un bistrot, il manque plus qu’une école !” », expose Thierry Kauffmann , habitant de la commune. Celui qui est aussi directeur de l’école de musique de Ferrette, Le Bœuf sur le toit , impulse alors il y a un peu plus d’un an l’idée et un groupe de voisins se construit autour du projet.

Celui-ci se dessine autour d’une pédagogie ouverte, censée permettre le développement de toutes les ressources de l’enfant. Annette et Philippe Koerper s’y joignent, notamment. « Ça fait très longtemps qu’on a envie de créer une alternative au…

Cela fait dix ans que le village de Biederthal n’a plus de structure pour accueillir les élèves de maternelle et de primaire. Les nombreux Suisses s’y étant installés au fil du temps avaient inscrit leur progéniture de l’autre côté de la frontière. « J’ai toujours eu la petite nostalgie de cette école pour la vie du village. Je disais souvent au maire : “On a ouvert une épicerie, un bistrot, il manque plus qu’une école !” », expose Thierry Kauffmann , habitant de la commune. Celui qui est aussi directeur de l’école de musique de Ferrette, Le Bœuf sur le toit , impulse alors il y a un peu plus d’un an l’idée et un groupe de voisins se construit autour du projet.

Celui-ci se dessine autour d’une pédagogie ouverte, censée permettre le développement de toutes les ressources de l’enfant. Annette et Philippe Koerper s’y joignent, notamment. « Ça fait très longtemps qu’on a envie de créer une alternative au…

La famille Sex Education se réduit de plus en plus. La série Netflix avait déjà perdu Simone Ashley, celle qui incarne Olivia, qui a décidé de se tourner vers d’autres projets et notamment La Chronique des Bridgeton, où elle détient un rôle principal dans la saison 2.

Récemment, on a appris que deux autres actrices n’allaient pas revenir dans la saison 4 de Sex Ed. C’est d’abord le cas de Tanya Reynolds, qui s’est confié au média anglais Digital Spy. La comédienne de 30 ans a avoué qu’elle laissait de côté Lily Iglehart car elle estimait « que c’était [s]on heure. Je pense que l’histoire de Lily s’est terminée à la fin de la saison 3. Elle n’a donc pas de détails à régler, elle a eu une fin heureuse« , a-t-elle expliqué avant de reconnaître tout de même que son personnage « va vraiment [lui] manquer » parce qu’elle « l’aime de tout son être » et qu’elle a « passé les meilleurs moments de ces trois saisons« .

La deuxième actrice qui ne fera pas son retour dans la saga étudiante de Netflix n’est autre que la petit-amie de Lily dans la fin de la saison 3 à savoir Ola Nyman. C’est son interprète Patricia Allison qui avait annoncé la nouvelle dans l’émission matinale Capital Xtra, le 5 juillet dernier, comme nous vous l’expliquions dans l’article ci-dessus. « D’autres opportunités se sont présentées, donc… Je fais ça depuis trois ans et j’ai vraiment adoré ça« , avait-elle lancé, sans dévoiler ses futurs projets. 

Le tournage de la saison 4 de Sex Ed devrait débuter cet été et sera donc orphelin de plusieurs actrices phares de la série.

Thibaut Falconnat