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A voir ce papier : polémique après le « job-dating » de l’académie de Versailles

Voici le principal d’un article que je viens de remarquer sur internet. Le propos va véritablement vous ravir. Car la thématique est « voitures anciennes ».

Le titre séduisant (polémique après le « job-dating » de l’académie de Versailles) est sans ambiguïté.

Sachez que le chroniqueur (annoncé sous la signature d’anonymat
) est reconnu comme quelqu’un de sérieux pour plusieurs autres encarts qu’il a publiés sur le web.

Les informations éditées sont en conséquence présumées véritables.

L’éditorial a été divulgué à une date notée 2022-05-31 10:51:00.

Ils témoignent

Anna, 22 ans, assistante de russe

« En arrivant de Russie en septembre dernier, j’ai obtenu un poste d’assistante de langue russe dans un lycée du Val-d’Oise et ça m’a beaucoup plu », raconte Anna, Russe qui s’exprime dans un français parfait.

La situation en Russie « me pousse à rester en France : il est impensable de revenir dans mon pays », ajoute Anna, qui a suivi dans son pays des études de traduction français-russe au niveau licence.

« Enseigner en France serait un rêve et le recrutement proposé ici en tant que professeur contractuel peut vraiment être un bon tremplin pour des gens comme moi ».

Jonathan, 27 ans, ingénieur en poste

« Je ne suis pas bien vieux mais j’ai déjà connu cinq entreprises en tant qu’ingénieur et j’ai décidé que, désormais, j’ai envie de transmettre », explique Jonathan, ingénieur dans les Télécoms, qui donne déjà des cours en lycée en parallèle de son métier.

Son rêve? « Enseigner l’économie-gestion en lycée technologique ». « Ce n’est pas prétentieux mais ça peut être très instructif pour les élèves d’avoir un professeur qui a une expérience dans le privé », déclare le jeune homme qui se dit « extrêmement motivé par le terrain » et souhaite « démarrer dès la rentrée ».

« Mon entourage s’inquiète pour moi de la perte de salaire, mais c’est tellement une évidence que je suis prêt à diviser mon salaire par deux, sans problème ».

Kamel, 44 ans, en recherche d’emploi

« Avec une licence en génie-mécanique en poche, je pense avoir mes chances pour décrocher un poste de prof de mathématiques notamment, car les besoins sont énormes pour la rentrée prochaine », avance Kamel, en recherche d’emploi dans les Yvelines.

« Après de longues années dans le secteur de l’automobile, j’ai fait une pause et quand Pôle Emploi m’a démarché pour ce ‘job dating’, j’ai sauté sur l’occasion. Je pensais depuis longtemps à m’orienter vers l’enseignement », dit Kamel.

Il se dit « conscient » du fossé entre son métier dans le secteur privé et l’enseignement. Mais il est « convaincu que tout est possible quand on est motivé ».

Amina, 33 ans, a déjà enseigné en Algérie

« J’ai enseigné pendant six ans en collège en Algérie, donc l’éducation, je connais », dit Amina. « Je préfère me tourner vers l’école maternelle ou élémentaire, qui correspondent mieux à mes attentes », poursuit la jeune femme, arrivée en 2018 en France, où elle a eu plusieurs expériences dans le périscolaire.

« Je suis extrêmement motivée par l’idée d’enseigner. Ca me manque énormément, je ne veux pas laisser passer cette opportunité de recrutement de dernière minute », ajoute-t-elle.

« Je croise les doigts pour que ça marche dès la rentrée. Et puis si tout se passe bien, je pourrai passer le concours dans quelques années ».

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Dernière actu toute fraiche : Enko Education clôture sa série B de 5,8 M$ pour accélérer son développement sur le continent africain

Je vais porter à votre connaissance cet éditorial qui vient d’être publié, dont la thématique est «l’éducation».

Son titre séduisant (Enko Education clôture sa série B de 5,8 M$ pour accélérer son développement sur le continent africain) résume tout l’article.

Annoncé sous le nom «d’anonymat
», le journaliste est connu et fiable.

Il n’y a pas de raison de ne pas croire de la fiabilité de ces infos.

L’article a été divulgué à une date notée 2022-05-31 05:38:00.

Texte dont il s’agit :

Enko Education, réseau d’écoles africaines internationales annonce la clôture de sa série B de 5,8M$ menée par Adiwale Partners, et suivie par le Family Office Steyn Capital, les investisseurs institutionnels existants Proparco, Investisseurs et Partenaires et Liquid Africa, ainsi que des personnalités reconnues dans l’éducation internationale et l’entrepreneuriat en Afrique. Cette levée de fonds de Série B, clôturée le 30 avril, atteste de la capacité d’Enko Education à répliquer son modèle éducatif innovant.

Atteindre 10 000 élèves en 2025

D’ici 2030, 750 millions de jeunes Africains seront en âge d’aller à l’école. Afin de permettre à ces jeunes d’accéder aux meilleures universités, les écoles Enko Education offrent une éducation africaine internationale de qualité au niveau du primaire, collège et lycée. Un accompagnement individualisé pour les admissions universitaires, le programme du Baccalauréat International et un ancrage africain font le trio gagnant de la recette Enko. “En quelques années, Enko Education est devenu le premier réseau d’écoles offrant le programme du Baccalauréat International en Afrique. Notre groupe a développé un savoir-faire unique dans la gestion d’établissements scolaires à travers le continent” explique Eric Pignot, Fondateur et Directeur Général. “Cette nouvelle levée de fonds va nous permettre d’accélérer notre croissance, à la fois par la reprise d’écoles existantes et par le lancement de nouveaux établissements scolaires en gestion” ajoute Cyrille Nkontchou, Fondateur et Président.

Depuis l’ouverture de sa première école en 2014 à Yaoundé, le groupe Enko Education a développé un réseau de 13 écoles internationales africaines qui accueillent plus de 3 500 élèves dans 9 pays d’Afrique Sub-saharienne (Afrique du Sud, Botswana, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Cameroun, Mali, Mozambique, Sénégal, Zambie). L’ambition de cette nouvelle levée est d’accroître le nombre d’élèves dans le réseau pour atteindre 10 000 élèves en 2025.

Le plan stratégique du groupe est d’augmenter le nombre de ses écoles, par des acquisitions et la reprise d’écoles en gestion simple. Ce dernier modèle permet à des propriétaires d’écoles de confier la gestion de leur établissement à Enko Education agissant en tant qu’opérateur scolaire. Jean-Marc Savi de Tové, Associé gérant de Adiwale Partners, témoigne : “Enko Education offre la possibilité à des milliers de jeunes Africains qui façonneront le monde de demain de mieux se préparer à accéder aux meilleures formations universitaires, grâce à une éducation primaire et secondaire de qualité. L’investissement d’Adiwale Fund I permettra au groupe, dans le cadre de son expansion, d’investir dans ses infrastructures, mais aussi de renforcer ses ressources humaines et la formation des enseignants.

Le modèle opérateur Enko Education ou la gestion d’écoles africaines privées

Enko Education ambitionne de devenir le leader de l’éducation internationale en Afrique. Le groupe a développé une forte expertise dans le lancement et l’opération d’écoles sur le continent. “Aujourd’hui nous sommes capables de créer, reprendre, et gérer des écoles offrant des programmes nationaux ou internationaux, pour le compte d’acteurs aussi divers que des promoteurs immobiliers, des ONGs, ou des propriétaires individuels.” explique Eric Pignot.

Les écoles Enko Education poursuivent toutes la même vision : révéler le potentiel des élèves du continent en leur permettant l’accès aux meilleures universités du monde. Le modèle Enko Education a déjà généré de brillants résultats puisque les élèves des premières promotions étudient actuellement dans de prestigieuses universités à travers le monde, telles que Yale College aux Etats-Unis, Sciences Po ou l’Ecole Polytechnique en France, l’Université de Toronto au Canada, l’African Leadership University au Rwanda ou encore la Capital University of Economics and Business en Chine.

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Information toute fraiche : un « job dating » pour pourvoir 2 000 postes en urgence

Un fois de plus, ce blog va porter à votre connaissance un article qui a été trouvé sur internet. La thématique est «l’éducation».

Son titre séduisant (un « job dating » pour pourvoir 2 000 postes en urgence) parle de lui-même.

L’éditorialiste (identifié sous le nom d’anonymat
) est positivement connu pour plusieurs autres éditoriaux qu’il a publiés sur le web.

Vous pouvez lire ces révélations en toute sécurité.

Quand son conseiller de Pôle emploi lui a suggéré de se rendre au « job dating » organisé, lundi 30 mai, par l’académie de Versailles, Élodie s’est laissée tenter. « L’enseignement, j’y avais déjà pensé… de loin », nuance-t-elle, assise sur un banc, dans l’enceinte du rectorat, où se déroule le premier d’une série inédite de quatre rendez-vous départementaux consacrés au recrutement. Cette demandeuse d’emploi est surtout là pour se renseigner sur le métier auprès de ceux qui l’exercent. Sur le métier, ou plutôt sur les métiers : « Professeure des écoles, accompagnante d’élèves en situation de handicap, enseignante de mathématiques en collège ou lycée », énumère cette quadragénaire, informaticienne de formation qui, un temps, a travaillé comme assistante maternelle à domicile.

→ ENQUÊTE. Sur Leboncoin, recherche enseignant désespérément

Élodie a certes lu que l’académie de Versailles, premier employeur d’Île-de-France, avait plus de 2 000 postes à pourvoir, elle est venue sans CV. « Je ne voulais pas candidater sans un temps de recul. Ce qui m’intéresse, c’est la transmission. Ce que je redoute, c’est la gestion de la classe », résume-t-elle.

Au sortir de son entretien, Élodie se montre en partie rassurée. « On m’a parlé d’une semaine de formation avant la rentrée puis de l’accompagnement par un tuteur. On m’a aussi soutenu que l’équipe pédagogique serait toujours à mes côtés », raconte-t-elle.

Des contrats qui enjambent les vacances d’été

L’académie de Versailles s’est, de fait, lancée dans une opération séduction à l’endroit des enseignants contractuels, ceux qu’elle a déjà recrutés et ceux qu’elle doit encore trouver pour éviter que des classes ne se trouvent privées d’enseignants à la rentrée. « Sur les 500 contractuels engagés entre janvier et mars, au plus fort de la pandémie, plus de 85 % vont rester en poste », se félicite la rectrice Charline Avenel. Contrairement à ce qui se passe d’habitude, ces professeurs verront leurs contrats enjamber l’été pour leur permettre d’être payés, comme les titulaires, pendant les vacances, précise-t-elle.

Si le rectorat se mobilise de la sorte, c’est, insiste Charline Avenel, qu’avec l’amélioration sur le front de l’emploi, « la concurrence du secteur privé, en matière de recrutement, est de plus en plus forte ». C’est aussi que l’enseignement pâtit d’un déficit d’attractivité – les concours sont loin de faire le plein – et que nombre d’acteurs de l’éducation se disent en souffrance. Un sur trois ne trouverait ainsi plus de sens à son travail, selon un récent baromètre publié par le syndicat UNSA.

Une ex-directrice juridique en quête de sens

Parmi les 600 inscrits à cette journée de recrutement, on compte pourtant près d’un quart de personnes à la recherche d’une reconversion. « À la recherche d’un métier qui ait du sens », précise Nadine Crinier, directrice régionale de Pôle emploi. Un cas d’école : celui de Valérie, 51 ans, dont 25 passés à travailler comme directrice juridique. « J’en étais arrivée à un stade où je devais être en permanence dans une posture politique plutôt qu’en position d’experte. Cela ne me correspondait plus. » Il y a deux ans, peu avant le Covid, la décision est prise : celle qui a toujours pris du plaisir à transmettre ses savoirs à de jeunes collaborateurs commence à préparer le Capes d’anglais… avant d’accepter, finalement, un poste de salariée dans une grande organisation caritative.

Cette fois-ci, Valérie semble déterminée à rejoindre l’éducation nationale comme contractuelle, sans attendre d’avoir le Capes. Avec un salaire de 2 000 € brut, soit moins de la moitié de celui qu’elle percevait en tant que directrice juridique. Un salaire inférieur aussi à celui qu’elle touche dans son association. « L’argent ne fait pas tout », semble nous dire le sourire serein qui barre son visage. Et puis, Valérie a pu voir, avec ses deux filles, l’une au collège, l’autre au lycée, combien le non-remplacement des enseignants absents pesait sur l’institution.

Valérie vient de passer un entretien d’embauche d’une vingtaine de minutes avec deux professeurs, dont une enseignante d’anglais. « Elle s’est mise immédiatement à me parler dans cette langue, à m’interroger sur ma façon d’aborder la conduite de la classe. » Il lui faut désormais patienter. Deux semaines maximum, promet le rectorat.

« Prête à faire deux heures de route par jour »

Dans la file d’attente, on trouve encore des professeurs formés à l’étranger, hors Europe, et qui ne peuvent pas devenir titulaires, ou bien des étudiants en master Meef (métiers de l’enseignement, de l’éducation et de la formation) désireux de travailler avant même de passer le concours.

On croise aussi Élisabeth, 50 ans, qui a été professeure contractuelle en primaire pendant dix ans à Paris puis une année en Eure-et-Loir, où elle habite désormais. « On m’a dit que mon contrat ne serait pas renouvelé », déplore-t-elle. Sans déménager, cette « passionnée » d’enseignement est aujourd’hui candidate pour un poste dans les Yvelines, le département voisin. « Je suis prête à faire deux heures de route par jour pour exercer le métier que j’aime », assure-t-elle.

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Revue de presse internet : Éducation aux médias : une tribune au président de la République

Je viens de trouver ce papier sur la thématique « l’éducation ». Avec plaisir nous vous en présentons le principal plus bas.

Le titre suggestif (Éducation aux médias : une tribune au président de la République) parle de lui-même.

Annoncé sous le nom «d’anonymat
», l’éditorialiste est connu et fiable.

Vous pouvez en conséquence faire confiance aux informations qu’il donne.

Le papier a été diffusé à une date mentionnée 2022-05-31 01:25:00.

Le 24 avril, dès les premières minutes de votre réélection, vous avez choisi de traverser la foule entouré d’enfants, envoyant à tous vos concitoyens un message fort : votre nouveau quinquennat sera celui de la jeunesse. Cette jeunesse, vous voulez lui offrir un « monde meilleur » et « mieux la protéger », dans une société de plus en plus fragmentée.

Mais cette jeunesse, qui devra affronter l’immense défi climatique et redonner un nouveau souffle à notre démocratie vieillissante, se trouve aujourd’hui désarmée face à un flot continu d’informations, de posts et de messages, dont elle peine à évaluer la fiabilité et la pertinence. Tous les jeunes Français ne disposent pas des outils pour se forger une opinion de manière éclairée et saine, ils sont entraînés dans des spirales dangereuses, pouvant mener à l’isolement et à la radicalisation.

Ce fléau touche toute la société : aucune classe sociale, aucune classe d’âge n’est épargnée. Aujourd’hui, un Français sur trois souscrit à une théorie conspirationniste. Les croyances prennent le pas sur la rationalité. Nombreux sont nos concitoyens qui s’éloignent de la médecine et de la science. La confiance dans les médias et les institutions est au plus bas, ce qui met directement en danger notre démocratie.

Nous, journalistes, éducateurs, enseignants, chercheurs, formateurs, vulgarisateurs, agissant sur le terrain, côtoyons tous les jours des publics en désarroi. Et nous sommes extrêmement inquiets.

À l’école, des millions d’élèves quittent leur établissement sans avoir acquis les compétences indispensables à l’exercice de leur citoyenneté à l’ère numérique. Les enseignants ne bénéficient pas tous de la formation adéquate pour éveiller l’esprit critique des élèves. Souvent, l’éducation aux médias et à l’information, inscrite dans les programmes mais sans heures dédiées, relève de seules initiatives individuelles. Le manque de moyens et de ressources qui lui sont alloués est criant.

Hors l’école, malgré l’investissement de certains ministères, le soutien aux acteurs de terrain reste irrégulier et incomplet. Des dizaines d’associations, de lieux de savoir et de culture, d’entreprises et de citoyens engagés se battent pour défendre la qualité de l’information et aiguiser l’esprit critique des Français. Mais cet engagement est réparti de manière inégale sur le territoire, au point que la fracture informationnelle vient aujourd’hui aggraver les fractures sociales et économiques existantes.

M. le Président, la défaillance de l’État sur le sujet a un coût : les plateformes, en grande partie responsables du problème, s’engouffrent dans ce créneau, au détriment de l’indépendance et de la pluralité médiatique, sans autre garantie de qualité que leurs propres critères.

Nous, acteurs et artisans de l’éducation aux médias et à l’information au quotidien, formons aujourd’hui une coalition riche, diverse et inclusive. Nous voulons construire ensemble une action coordonnée et réellement efficace sur l’ensemble du territoire.

Monsieur le Président, la situation exige d’élever l’éducation aux médias et à l’information au rang de grande cause nationale.

Pour que cela se traduise concrètement, nous vous demandons de créer sans délai un « fonds éducation aux médias et à l’information ». Ce fonds pourrait être financé par l’État et par une fraction de la taxe sur les entreprises numériques. Il permettrait de soutenir les acteurs de terrain, en relation directe avec les pouvoirs publics et les élus, à l’échelle nationale et locale.

La mise en place d’une véritable politique de l’éducation aux médias et à l’information ne pourra se faire qu’à ce prix. Cet investissement constitue une formidable opportunité pour la France. Un immense espoir pour cette jeunesse qui nous tient tant à cœur. Ensemble, nous placerons la France à la pointe de la lutte contre la désinformation et la manipulation en ligne et nous façonnerons une véritable citoyenneté à l’ère numérique, partout et pour tous.

M. le Président, la France a la chance de compter d’innombrables acteurs de terrain mobilisés pour faire de notre pays une nation éclairée et ressoudée. Il faut que la volonté politique soit au rendez-vous. Le défi est immense.

Êtes-vous prêt à le relever ?

Premiers signataires : Association Pour l’Éducation aux Médias (qui réunit la plupart des journaux dont Charente Libre), La Ligue de l’Enseignement, Bibliothèques Sans Frontières, Association du Prix Albert Londres, la SCAM, Savoir*Devenir, Association Fake Off, Fédération Léo Lagrange, Delphine Minoui, grand reporter, Jérôme Bouvier, les Assises du Journalisme, David André, réalisateur, Albert Moukheiber, docteur en Neurosciences Cognitives, Entre les lignes, Reporters Sans Frontières, Live Magazine, Philippe Merieu, professeur honoraire, les Francas, Rose-Marie Farinella, enseignante, Romain Badouard, chercheur en science de l’information et de la communication…

Consultez la liste complètes des signataires et soutenez cet appel ici.

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Dernière actualité pour les passionnés : Le rallye citoyen se court cette année à Nérac

Ce post, dont le propos est « l’éducation », a été relevé sur le web, notre rédaction est heureuse de vous en reproduire le contenu le plus marquant ici.

Son titre suggestif (Le rallye citoyen se court cette année à Nérac) est parlant.

Sachez que l’auteur (identifié sous la signature d’anonymat
) est reconnu comme quelqu’un de sérieux pour plusieurs autres éditoriaux qu’il a publiés sur le web.

Vous pouvez ainsi faire confiance à cette actualité.

L’article d’origine :

Dans le cadre du lien Armées-Nation – Armées Jeunesse, la manifestation est organisée ce mardi 31 mai au parc de la Garenne

Cette journée vise à promouvoir le civisme et l’esprit de Défense parmi les élèves des classes de troisième et de seconde des collèges et lycées de Lot-et-Garonne. Cet événement s’inscrit pleinement dans le « parcours citoyenneté », formation de tous les jeunes aux enjeux de la défense et de la citoyenneté, qui comprend trois étapes : l’enseignement de la défense, le recensement et la Journée défense et citoyenneté (JDC).

Le thème retenu pour cette dixième édition est : « Quels enjeux pour la défense dans le cadre de la présidence française de l’Union européenne en 2022 ? » Les 12 équipes de collèges et lycées de tout le département vont effectuer un parcours ponctué de six ateliers disséminés dans le parc de la Garenne et ayant pour but de faire prendre conscience des différentes formes de l’engagement citoyen.

Les participants

Nérac Collèges Sainte-Claire et Henri de Navarre et lycées George-Sand et Jacques-de-Romas. Marmande Collège Notre Dame de la Salle (deux équipes). Monsempron-Libos Collège Kléber-Thoueilles. Miramont-de-Guyenne Collège Didier-Lamoulie. Mézin Collège Armand-Fallières. Port-Sainte-Marie Collège Delmas-de-Grammont. Agen Lycée Saint-Caprais. Aiguillon Lycée Stendhal.

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Que penser de ce texte : l’académie de Versailles organise un « job dating » pour les enseignants

Ce post ayant pour propos « l’éducation » a été décelé sur internet, nous avons voulu vous le présenter ci-après.

Le titre suggestif (l’académie de Versailles organise un « job dating » pour les enseignants) parle de lui-même.

Identifié sous le nom «d’anonymat
», le journaliste est connu et fiable.

Vous pouvez en conséquence faire confiance aux infos qu’il divulgue.

Sachez que la date d’édition est 2022-05-30 06:42:00.


Publié


Mis à jour

Éducation : l'académie de Versailles organise un "job dating" pour les enseignants
France 2

Article rédigé par

S.Soubane, S.Broomberg, P. Juvigny, S. Auvray, J. Cohen Olivieri

France 2

France Télévisions

30 minutes d’entretien pour devenir professeur : c’est l’initiative inédite lancée par l’académie de Versailles, qui manque cruellement de personnel. Au total, 2 000 postes sont à pourvoir. 

Au rectorat de Versailles (Yvelines), dans la matinée du lundi 30 mai, une trentaine d’aspirants professeurs attendent de passer leur entretien d’embauche, pour devenir contractuels. Pour postuler, un bac + 3 suffit. Les candidats ont donc des profils éloignés de l’enseignement. Fiona, accompagnatrice d’enfants en situation de handicap, est venue tenter sa chance : 30 minutes pour devenir enseignante en primaire. Une opportunité pour elle, qui pense pouvoir être « une bonne enseignante« . 

L’opération est organisée en partenariat avec Pôle Emploi. L’académie de Versailles propose au total 2 000 postes, dès la rentrée. L’objectif ? Fournir une réponse rapide, en raison d’un grand nombre d’offres disponibles. Les syndicats dénoncent ces recrutements. Selon eux, ils précarisent le métier mais font également baisser le niveau. 


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  • Rédaction en chef

    Thomas Horeau

  • Rédaction en chef-adjointe

    Régis Poullain et Margaux Manière

  • Résponsable d’édition

    Anne-Laure Cailler et Paul mescus

  • Joker

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    Franck Genauzeau

  • Rédaction en chef-adjointe

    Irène Bénéfice, Willy Gouville et Jean-François Monier

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Revue de presse internet : Rencontre avec Mouna, enseignante d’éducation islamique à Granada

Voilà un texte que nous sommes heureux de présenter ici sur notre site. Le sujet est « l’éducation ».
Son titre troublant (Rencontre avec Mouna, enseignante d’éducation islamique à Granada) est sans équivoque.

Le journaliste (annoncé sous la signature d’anonymat
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Vous pouvez en conséquence faire confiance à cette publication.

La date de publication est 2022-05-30 01:23:00.

Texte source :

Les élèves marocains, espagnols, russes, syriens, chinois et d’autres nationalités inscrits à l’école maternelle et primaire Los Cármenes suivent des cours d’éducation islamique depuis le deuxième trimestre de l’année. « C’est bénéfique pour tous les enfants, ça les aide à connaître d’autres cultures et à vivre avec elles », explique Luisa Ramos, la responsable de l’établissement, à Ideal.

En tout, 52 élèves de la maternelle et du primaire reçoivent déjà une heure et demie par semaine de cours d’éducation islamique. Ainsi, l’école Los Cármenes fait désormais partie des 32 centres éducatifs de la province qui enseignent l’islam. « Les enfants sont ravis et l’enseignante s’est très bien intégrée », confie la directrice du centre. Et à Mari Carmen Gámez, responsable des études, d’ajouter : « Il y a des parents qui, ne sachant pas que la religion islamique serait approuvée, ont directement coché la case Valeurs. Ces élèves ne peuvent plus changer d’option ».

À lire : Espagne : la justice impose l’enseignement de l’Islam dans les écoles

Mouna Barhoun, l’enseignante d’éducation islamique, est une jeune de 23 ans, originaire de Tanger et résidant à Huelva depuis sa naissance. Elle parle couramment l’espagnol et l’arabe et c’est sa première mission en tant qu’enseignante. « C’est une école extraordinaire avec de bons élèves, je me suis adaptée rapidement. J’aime vraiment être enseignante et plus encore de religion », déclare-t-elle. Le cours est dispensé en espagnol avec le livre « Découvrez l’islam », de l’éditeur Akal, approuvé par la Commission islamique d’Espagne.

Pour les élèves de la maternelle (3, 4 et 5 ans), l’enseignement est plus basique, adapté à leur âge. « Ils colorient, apprennent les mots fondamentaux de l’islam, regardent des vidéos… Certains n’y connaissent rien, d’autres ont quelques notions », explique Mouna. En primaire, 38 élèves suivent ce cours au cours duquel ils mémorisent progressivement les 114 chapitres du Coran en arabe. « Je m’adapte au rythme de chacun, car tous ne sont pas Marocains », souligne l’enseignante.

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