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On revient sur l’édito : Seine-Saint-Denis. Des familles demandent la scolarisation de neuf enfants roms

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Ce texte ayant pour thème « l’éducation » se propage sur internet, nous avons décidé de vous le exposer dans cette publication.

Son titre (Seine-Saint-Denis. Des familles demandent la scolarisation de neuf enfants roms) est parlant.

L’écrivain (identifié sous la signature d’anonymat
) est connu et fiable pour plusieurs autres posts qu’il a publiés sur le web.

Les infos éditées sont en conséquence perçues valables.

Texte dont il s’agit :

Des familles roms ont réclamé la scolarisation de neuf enfants après des refus de quatre mairies de Seine-Saint-Denis, au motif qu’elles ne disposent pas de justificatif de domicile, un document qui n’est pourtant plus exigé par la loi.

« Je voulais inscrire mon fils à l’école, ils m’ont demandé si j’ai un justificatif de domicile, j’ai dit que j’avais pas de domicile, que j’habite dans un squat, ils m’ont tout de suite refusé », a confié Angela-Bianca Lacatus, qui veut inscrire son garçon de quatre ans en moyenne section à l’Ile-Saint-Denis.

« Il pleure de ne pas pouvoir aller à l’école, il ne comprend pas », a ajouté cette mère qui se sent « rejetée ».

Mise en demeure

Neuf enfants âgés de trois à 10 ans sont touchés par ces refus de scolarisation, a précisé Me Anna Stoffaneller, l’avocate qui représente les familles concernées aux côtés d’un collectif de mères vivant en bidonvilles, squats ou hôtels sociaux.

« Ces enfants n’ont déjà pas de logement et on veut les priver d’école » qui est un droit fondamental, a souligné Me Stoffaneller.

Des lettres de mise en demeure ont été envoyées ce jeudi aux villes de Bondy, Le Blanc-Mesnil, Pierrefitte-sur-Seine et l’Ile-Saint-Denis, ainsi qu’à la préfecture du département et au rectorat de Créteil, a-t-elle indiqué.

Elles mentionnent le décret paru en juin 2020, destiné à faciliter l’accès à la scolarisation des enfants vivant en bidonvilles, en assouplissant les pièces justificatives demandées aux familles. 

Justificatif de domicile

Le justificatif de domicile n’est donc plus obligatoirement une quittance, un avis d’impôt ou une facture, que ces familles dans une grande précarité ne peuvent produire.

Ainsi, « il peut être justifié du domicile par tous les moyens, y compris une attestation sur l’honneur », stipule le décret. Le maire peut ensuite faire procéder à la vérification de la domiciliation sur sa commune.

Le rectorat a précisé que les familles devaient saisir l’inspecteur de circonscription dont elles dépendent, qui prend ensuite attache avec la mairie concernée.

« À chaque fois qu’on est saisi, on va au bout, la procédure s’applique strictement », a assuré le rectorat, ajoutant que les dossiers se débloquent souvent par la « médiation ».

C’est le cas à Bondy, où les dossiers de deux familles vont être de nouveau étudiés, a affirmé cette source.

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Ceci se propage sur internet : En Israël, l’éducation des haredim fait polémique

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Dans le cadre de notre mission de vous alerter, nous publions ci-dessous un papier vu sur le web il y a peu. La thématique est «l’éducation».

Son titre saisissant (En Israël, l’éducation des haredim fait polémique) est sans ambiguïté.

Sachez que l’auteur (annoncé sous le nom d’anonymat
) est connu et fiable pour plusieurs autres textes qu’il a publiés sur internet.

Vous pouvez en conséquence vous fier aux révélations qu’il édite.

L’article a été divulgué à une date mentionnée 2022-09-30 10:22:00.

Voilà ll’article :

Des étudiants d’un séminaire juif dans une yeshiva de la colonie israélienne de Beit El, en Cisjordanie. Ronen Zvulun/REUTERS

«Bibi» Netanyahu a promis aux partis ultraorthodoxes le maintien des subventions pour leurs écoles religieuses.

Correspondant à Jérusalem

À quelques semaines des élections législatives israéliennes, les cinquièmes en trois ans, Benyamin Netanyahou parvient toujours à s’imposer comme le pivot de la vie politique israélienne. Mais dans ce paysage politique en permanente recomposition, la coalition formée autour de «Bibi» n’est pas aussi robuste qu’elle en a l’air. Outre le Likoud et une alliance de deux partis sionistes religieux d’extrême droite, son groupe comprend les ultraorthodoxes du Shas et du Judaïsme unifié de la Torah. Ces derniers pourraient rassembler une quinzaine de députés à la Knesset, ce qui les place en position de force dans les négociations à venir pour la formation d’un gouvernement.

Cette coalition a bien failli voler en éclat, fragilisée par l’épineux dossier de l’éducation, une question centrale pour les partis orthodoxes. Elle ne tient désormais que sur une promesse de l’ex-premier ministre.

En Israël, la plupart des écoles sont publiques, ce qui ne signifie pas pour autant qu’elles soient toutes soumises au même programme scolaire

Ariel Finkelstein, chercheur au Israel Democracy Institute

«En Israël, la plupart des écoles sont publiques, ce qui ne signifie pas pour autant qu’elles…

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